L’adoption
Il n’est pas rare qu’une personne élève les enfants de son conjoint « comme si c’étaient les siens » : comment le traduire juridiquement ?
Il n’est pas rare qu’une personne élève les enfants de son conjoint "comme si c’étaient les siens" : quand on se met en couple avec une personne qui a déjà des enfants, on se retrouve beau-parent d’enfants parfois très jeunes qu’on voit grandir et qu’on aime comme les siens.
Parfois le couple fondateur de cette famille recomposée a ensuite des enfants en commun, pour lesquels il y autant d’attachement évidemment mais une filiation et donc des conséquences juridiques : héritage, mais aussi obligation alimentaire que ce soit dans un sens (du parent envers l’enfant) ou dans l’autre (de l’enfant envers le parent).
Il peut arriver que le beau-parent souhaite traduire juridiquement l’attachement qu’il ressent envers les enfants de son conjoint, ne serait-ce que pour transmettre son patrimoine, s’il n’a pas lui-même d’enfant, ou pour ne pas faire de différence entre les enfants d’une même famille, même si elle est recomposée.
"La médiation des contentieux environnementaux fondés sur le devoir de vigilance" : qui peut le plus, peut le moins !
Si la médiation peut "s'attaquer" aux contentieux environnementaux fondés sur le devoir de vigilance, pourquoi n'est-elle pas plus utilisés pour des litiges plus simples ? Comme la séparation d'un couple, l'organisation du mode de garde des enfants ou la négociation de la pension alimentaire ?
D'autant plus qu'à quasiment toutes mes audiences en tant qu'avocat en droit de la famille à Senlis, Beauvais ou Compiègne, le Juge aux Affaires Familiales rappelle que des sujets comme la confiance, la coparentalité, la communication entre les parents séparés, peuvent être travaillés utilement en médiation, le temps de l'audience ne suffisant pas forcément pour les aborder en profondeur. Alors prenons le temps de s'intéresser à la médiation !
Médiation administrative : Le Code de justice administrative permet aux parties à un litige de mettre en œuvre une médiation à leur initiative en dehors de tout procès, et ce même en référé donc au moyen d'une procédure rapide.
Même s'il faut rester attentif aux délais stricts de la procédure administrative, ce référé-médiation pourrait être utilisé en matière d'erreur médicale entre la victime et l'hôpital et son assureur.
Maître Audrey KIEKEN, Avocat à Senlis (Oise), pourra vous proposer cette procédure amiable si vous êtes victime d'actes médicaux fautifs, comme une intervention chirurgicale qui n'a pas été correctement réalisée par exemple.
Il n’est pas rare qu’une personne élève les enfants de son conjoint « comme si c’étaient les siens » : comment le traduire juridiquement ?
Vous souhaitez vous séparer d’un conjoint violent ou vous opposer à un mariage forcé : faîtes-vous accompagner.
Responsabilité et trottinette, gyroroue, hoverboard…
Vous n’arrivez pas à obtenir le paiement de la pension alimentaire pour vos enfants : l’intermédiation financière peut vous y aider !
L’indemnisation du dommage corporel est un travail très technique et exige une connaissance approfondie.
Passée l’émotion à l’annonce, il faut vous renseigner sur vos droits et vos devoirs.
Une mesure qui pose la question de la standardisation de l’indemnisation du préjudice corporel…
Une alternative au procès, simple, rapide et efficace
Depuis le 1er janvier 2017, le divorce par consentement mutuel ne se passe plus devant un Juge
Lorsqu’on se sépare, il n’est pas rare de se retrouver perdu devant une liste, qu’on imagine interminable
La médiation vous permet de ne pas subir la solution à votre différend mais de la choisir
Avocat depuis 2004 et médiateur depuis 2014, le cabinet de Maître Audrey KIEKEN est situé dans le Sud-Oise (60), à SENLIS.
L’activité d’avocat et l’exercice de la médiation permettent un enrichissement réciproque des deux activités.
Attachée aux valeurs humaines, Maître KIEKEN s’engage à accompagner chacun avec efficacité et transparence, clés de la confiance.